La plaque d'immatriculation qui vous fait voyager
voiture propre et immatriculation

Voiture propre et immatriculation

En 2020, le marché automobile passe au vert. En effet, les voitures écologiques commencent à se démocratiser. Le nombre d’immatriculation de voiture propre a même fortement augmenté, alors même que le marché automobile français connaît une chute vertigineuse de -25%. Être plus respectueux de son environnement incite les automobilistes à choisir un mode de transport de plus en plus propre.

Une voiture propre, c’est quoi ?

Une voiture propre ou écologique est un véhicule qui ne produit pas (ou peu) d’émissions polluantes lors de son utilisation. En effet, l’émission de CO2, mesurée en g/Km permet de déterminer l’impact environnemental induit par l’utilisation d’une voiture. Ainsi, favoriser des voitures avec une faible émission de CO2 permet d’améliorer la qualité de l’air que nous respirons.

Une voiture produisant moins de 50 g/km de CO2 peut être qualifiée de voiture propre. Ce seuil permet également d’attribuer les primes à la conversion ou le bonus écologique. Ainsi, si vous acheté une voiture neuve ou d’occasion en dessous de ce seuil, vous pourrez bénéficier d’une prime. A l’inverse des automobiles produisant plus de 133 g/Km sont soumises au malus écologique. Pour immatriculer ce type de voiture en France, il faudra alors vous acquitter d’un malus, car votre voiture a un impact négatif plus important sur la qualité de l’air.

Les incitations fiscales comme les primes permettent de réduire le prix d’achat d’une voiture. L’acquisition de voitures plus vertueuses et plus écologiques à moindre coût permet également de renouveler le parc automobile. A contrario, les malus doivent permettre de diminuer le nombre de vente de véhicules polluants. Ce type de mesure permet également d’inciter les constructeurs à produire et à commercialiser des voitures plus respectueuses de l’environnement.

Quelle motorisation pour les voitures propres

Une voiture propre émet peu de CO2 dans l’air lors de son utilisation. A titre d’exemple, une voiture électrique émet 77% de CO2 de moins qu’une voiture thermique. Il existe donc différentes motorisations permettant ce faible rejet de polluant : électriques, hybrides, hydrogène ou GPL.

Les voitures électriques : Les principaux constructeurs automobiles, ont développé un modèle 100% électrique. Le moteur électrique est alimenté par une batterie lithium. L’essor des bornes de recharge et les aides à l’achat (bonus écologique, prime à la conversion) favorise la démocratisation de ce type de voiture.

Les voitures hybrides et hybrides rechargeables : La voiture hybride utilise comme son nom l’indique deux types de motorisation : thermique et électrique. La différence entre une voiture hybride et une voiture hybride rechargeable réside dans la possibilité recharger la batterie soit uniquement grâce au moteur thermique soit via une prise de courant.

Les voitures à hydrogène : Les voitures hydrogènes sont des véhicules électriques dont la batterie est alimentée par une pile à combustion qui va convertir l’hydrogène en électricité et en eau. Cette solution de motorisation se développe difficilement en France, car il existe actuellement que peu de station à hydrogène.

Les voitures au GPL : La voiture GPL bénéficie d’une bicarburation. Elle possède donc deux réservoirs : l’un pour l’essence et l’autre pour le Gaz Pétrole Liquéfié (formé à partir d’un mélange de butane et propane).

Immatriculation des voitures propres en France

Dans un contexte particulier en 2020, la voiture écologique connaît une évolution spectaculaire. En effet, 1 600 000 de voitures neuves ont été immatriculées en France en 2020. C’est 25% d’immatriculation en moins par rapport à 2019. Ce volume n’avait pas été aussi faible depuis les années 70.

Dans ce contexte, il faut relever l’augmentation spectaculaire des immatriculations des voitures électriques et hybrides rechargeables (PHEV). Les modèles électriques représentent 6,7% du marché des voitures neuves en France, contre 1,9% fin 2019. Les PHEV représentent quant à elles une part de 4,5%, contre 0,8% en 2019.

Les aides de l’Etat comme la prime à la conversion ou le bonus écologique ont permis cette forte croissance. Malgré cette augmentation du nombre de voiture propre immatriculée, la voiture électrique peine à s’imposer comme véhicule principal du foyer. En effet, plus de 60% des familles propriétaires d’une voiture propre possèdent au moins un autre véhicule, et celui-ci est dans la majorité des cas, un véhicule thermique.

Plaque d’immatriculation et voiture propre

La Grande-Bretagne autorise désormais les propriétaires de voitures électriques à intégrer un bandeau vert sur leur plaque d’immatriculation. Celui-ci permet d’une part de marquer un engagement pour la planète et d’autre part de bénéficier de nombreux avantages : la gratuité du stationnement ou du péage urbain, l’accès aux zones réglementées, l’utilisation des voies de bus ou de covoiturage etc….

En France, il n’existe pas pour l’heure de marquage spécifique des plaques d’immatriculation des voitures propres.

La vignette Crit Air permet de classifier les véhicules en fonction de leur impact sur l’environnement. Il existe 6 vignettes de couleurs différentes. La vignette Crit’Air zéro est réservée au véhicule 100 % électriques. L’attribution de cette vignette permet de favoriser les véhicules les moins polluants et permet également de réguler plus facilement la présence de véhicules polluants lors des pics de pollution.

L’intégration d’un marquage spécifique sur les plaques d’immatriculation n’est pas encore d’actualité en France. Celui-ci permettrait pourtant de débloquer plus facilement des avantages pour les utilisateurs de voiture écologique, notamment au niveau de zones à faibles émissions (ZFE) dont le déploiement est engagé.


La plaque aluminium idéale pour une voiture propre

Les propriétaires de voitures propres, soucieux de l’environnement peuvent se tourner vers notre gamme plaque d’immatriculation aluminium. En effet, cette dernière est plus respectueuse de l’environnement que la plaque en plexiglas. L’empreinte carbone d’une plaque voiture en aluminium est nettement inférieure à celle d’une plaque plexiglas. Ainsi, la plaque d’immatriculation aluminium apporte une réponse tout à fait pertinente aux enjeux écologiques que sont la préservation des ressources naturelles, la réduction des déchets ou la limitation de l’émission de gaz à effet de serre.

Mise à jour le 15 février 2022

Commentaires (1):

  1. Mags

    19 mars 2021 at 14 h 41 min

    Bonjour,
    merci pour cette articles intéressant ….

    Répondre

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